Explication morphologique
Un mode d'explication fonde sur la geometrie
Thèses / mémoires Ecrit par: Perrot, Jean-François ; Université Pierre et Marie Curie Paris 6 ; Alvarez,Isabelle ; Publié en: 1992
Résumé: Cette thèse s'intéresse aux explications des résultats que peuvent fournir les systèmes informatiques a l'utilisateur final, indépendamment de la manière dont les résultats ont été obtenus. La méthode proposée dans cette thèse a et appliquée a un système-expert de diagnostic pour les moteurs de tracteurs. L'objectif de l'explication morphologique est d'une part d'intégrer l'utilisateur au processus explicatif, d'autre part de considérer l'explication d'un point de vue intuitif et non logique. L'explication morphologique s'appuie sur la forme des résultats au voisinage du cas a expliquer et non sur sa justification (preuve) logique ou causale. Le principe de l'explication morphologique est de caractériser l'association données-résultat (le cas a expliquer) par la projection des données sur la frontière de l'image inverse du résultat. La métrique associée a l'espace des données dépend de l'utilisateur et évolue au cours de l'explication. La caractérisation du cas a expliquer est donc déterminée a la fois en fonction de l'utilisateur (par l'intermédiaire de la métrique), et de la machine (par l'image inverse du résultat). Les informations fournies par l'explication morphologique peuvent être utilisées pour générer des explications de type rhétorique diffèrent. Dans le cas du diagnostic des moteurs de tracteurs, le raisonnement de l'expert n'est pas pertinent pour l'utilisateur, et il n'existe pas de modelé physique du moteur adapte au diagnostic. L'explication morphologique est employé pour aider l'utilisateur a exploiter les résultats du système-expert, en mettant en évidence les frontières entre les diagnostics
Paris:
Langue:
Français
Collation:
181 p. ill.
;30 cm
Diplôme:
Doctorat
Etablissement de soutenance:
Paris, Université Paris et Marie Curie
Spécialité:
Informatique
Thème
Informatique
Note: Bibliogr.pp.175-181