Résumé: L'utilisation de la technologie XML dans divers domaines d'application (les interfaces avec les bases de données, les système de recherche documentaire, les services web, les parseurs, les générateurs de formulaires XML, etc.) devient de plus en plus effective. La mise en oeuvre de ces applications reposent essentiellement sur deux préalables : le contrôle rigoureux des données et la connaissance de la structure des documents. La solution réside dans l'utilisation d'un modèle de structure (DTD, Schéma XML ou RelaxNG), qui renseigne, à des degrés divers, sur la nature (type, occurrence, lien hiérarchiques entre constituants, etc.) des informations contenues dans le document XML. De là, il apparaît clairement la nécessité d'accompagner les documents XML par des modèles de structures. Néanmoins, si nous nous plaçons dans la logique inverse, en d'autres termes, prenons un corpus documentaire XML existant où les documents ne référencent aucun modèle de structure. Là, pour les même raisons citées précédemment, pour pouvoir les exploiter au mieux, il serait intéressant de voir la possibilité de déduire, à partir de ces documents, un modèle de structure qui leur assurera la garantie recherchée pour leur traitement. L'objectif de ce projet est la génération d'un modèle de structure pour documents XML à partir de documents exemples. On s'intéressera en priorité au format RelaxNG qui est un intermédiaire intéressant entre les DTD (simples mais peu expressives) et les Schémas (très expressifs mais très complexes).

Langue: Français
Collation: 99 p. ill. ;30 cm
Diplôme: Ingénieur d'état
Etablissement de soutenance: Alger, Université des Sciences et de la Technologie Houari Boumédiene
Spécialité: Informatique
Index décimal 006.74 .Langages de balisage (Cascading Style Sheets, CSS, DHTML, HTML , langages de feuilles de style, RDF, Resource Description Framework, XHTML, XML )
Thème Informatique

Mots clés:
XML (langage de balisage)
RelaxNG, schéma
Datatypes binaires
WEB (langage de programmation)
Algorithmes

Note: Annexe pp.[102-126]